Y a-t-il un mais ?
Le tableau n’est cependant pas totalement idyllique pour les personnes du groupe B. Des études pointent en effet une vulnérabilité accrue aux troubles circulatoires. Pour contrebalancer cette tendance, l’adoption d’une hygiène de vie rigoureuse s’impose, combinant nutrition équilibrée, exercice physique et techniques de relaxation.
La situation française
Dans l’Hexagone, le groupe B reste minoritaire, touchant seulement 10% des citoyens. Les bénéfices potentiels de ce profil sanguin ne concernent donc qu’une petite partie de la population. Ces découvertes n’en restent pas moins précieuses pour décrypter les mécanismes du vieillissement et pourraient inspirer de futures stratégies préventives.
Nouveaux éclairages sur la longévité






