À quatre-vingt-dix ans, je me suis déguisé en vieil homme démuni et suis entré dans mon propre supermarché — ce qui s’est passé a bouleversé à jamais mon héritage

De l’héritier à la fondation

 

 

Face aux tensions, Malik refuse l’héritage. Il propose une autre voie : créer une fondation dédiée à ceux que la société oublie. Nourrir les affamés, loger les sans-abri, offrir des secondes chances à ceux qui veulent repartir.

C’est ainsi que naît la Fondation Delaunay pour la dignité humaine, dirigée par Malik. Banques alimentaires, bourses, centres d’accueil… La fortune du vieil homme devient un moteur de solidarité.

Une leçon qui dépasse l’histoire

Aujourd’hui, à 90 ans, M. Delaunay sait qu’il peut partir en paix. Il a trouvé un successeur, non pas dans les liens du sang, mais dans un acte gratuit d’humanité.

Et si vous doutez encore du pouvoir de la bonté, souvenez-vous de ces mots de Malik :
« Ce n’est pas qui ils sont qui compte. C’est qui vous êtes. »